Voilà arrivé l’heure d’une séance Groundhopping en Italie.
Objectif : 3 vieux stades italiens toujours fréquentés par quelques bons vieux ultras dans leurs Curve old school.
Le premier samedi soir avec un Parma – Genoa plus alléchant en tribunes que sur le terrain puisque les deux équipes sont classées moyennement en série À.
Le stade
Vous venez déjà de voir une photo de l’entrée du stade Ennio-Tardini. L’architecture d’entrée est atypique, la tribune à l’ancienne n’a pas été rénové depuis … bien longtemps.
On a un accès facilité avec un parking à proximité, de toute façon peu d’italiens viennent au stade en bagnole.
J’aime l’atmosphère de ces vieux stades. On voit qu’il y a peu d’entrées pour chaque tribune dans ce petit stade. Seule la Curva Nord est un peu isolée mais uniquement accessible aux abonnés.
L’atmosphère
Le parcage assez complet de Genoani mènera pas mal l’ambiance. On les aura entendu régulièrement. Dans un stade ouvert à tout les vents, ce n’est pas des plus propices aux grosses ambiances surtout que ça soufflera fort toute la rencontre. Les ultras locaux se feront fortement entendre surtout après l’ouverture du score. D’ailleurs ils gagneront 1-0. J’ai beaucoup aimé les chants repris par tout le stade. Et le fait que les 2 tribunes (curva et parcage) agiteront de grands drapeaux tout le match. Le football C’est le milieu de tableau de la série A. On a pas eu grand chose à voir. Les 2 équipes se sont neutralisées 75 minutes, sans vraiment jouer. Un coup du sort offrira le match à Parme.
L’expérience groundhopping
Et si c’était à refaire ? Je refais direct, juste pour l’ambiance et l’atmosphère dans ce vieux stade. J’ai eu l’impression de retourner dans le foot des années 80-90. Je n’ai juste pas compris pourquoi Parme n’a pas joué avec ces couleurs ancestrales (pourquoi un maillot blanc et noir ?). Mais on a bien déliré. Toutes les générations se côtoient dans ce stade où ça respire le foot et où l’on boit de la bière.
Du foot low-cost dans un stade vieillot où le prix du billet est par contre un peu trop cher pour ce qu’il y’a à voir sur le terrain.
[…] et dernier match du week-end « groundhopping » de vieux stades italiens. Naturellement après Parme et Bologne la route nous arrête à Firenze pour voir la […]